œuvre du musée
Lille métropole, musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut, sections axonométriques des 5 doigts de l'extension
Numéro d'inventaire
2010.6.17
Situation
En réserve
Statut
Propriété de l’État, Cité de l’architecture et du patrimoine, musée des Monuments français
Lille métropole, musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut, sections axonométriques des 5 doigts de l'extension
© Cité de l'architecture et du patrimoine, Musée des monuments français, Paris
(Photo : Cité de l'architecture et du patrimoine, Musée des monuments français, Paris.)
Auteur(s)
Auteur(s) de l'œuvre du musée
- Gautrand, Manuelle - 1961 (Architecte)
Datation
16 janvier 2005
Description
Dénomination
Matières
- Papier
- Néant
Dimensions
H : 91,5 cm; L : 59,5 cm
Inscription
Musée d'art moderne de Lille à Villeneuve d'Ascq, Manuelle Gautrand, architecte.
œuvre de référence
Auteur
Datation
2002-2009
Edifice de référence
Lille métropole, musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut (LaM)
Localisation
Villeneuve d'Ascq, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France
Lille métropole, musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut (LaM) a été inauguré en 1983 et inscrit en 2000 à l’Inventaire supplémentaire des Monuments historiques. Le bâtiment d’origine a été conçu par Roland Simounet. En juillet 2002, un concours européen d’architectes est lancé pour restructurer le Musée d'art moderne et y concevoir une extension dédiée à la nouvelle collection d’art brut. À l’issue de ce concours, Manuelle Gautrand est retenue avec cinq autres candidats, avant d’être désignée lauréate. Le projet de Manuelle Gautrand vient placer ses nouveaux espaces au plus près du bâtiment d’origine. Son architecture se déploie par l’arrière et dévoile progressivement son identité. Adossée à la façade nord, la construction embrasse progressivement dans la plaine, côté est, sous la forme de cinq doigts ajustés à la pente. Bien qu’inscrit dans la continuité du musée existant, le bâtiment de Manuelle Gautrand agit tel une greffe tant le choix d’une architecture organique rompt avec la construction de Simounet. Chacune des cinq excroissances qui le composent se termine par une ouverture plein cadre sur le parc, dissimulée derrière une résille de béton fibré. Doublés d’un sas vitré entièrement ouvert sur le parc, côté sud, ils permettent au visiteur de passer d’une architecture à l’autre, d’une lumière naturelle à une pénombre artificielle, de salles rectilignes et ordonnées à des espaces sinueux et torturés.
Mise à jour le 11/02/2021
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