Tianjin, transferts mondiaux et appropriations locales
dans le cadre du cycle Les Rendez-vous Chine
Ville portuaire au sud-est de Pékin, Tianjin est l’une des quatre municipalités qui ont rang de province. Les concessions internationales s’y développèrent dès 1860, s’étalant le long du fleuve en périphérie de l’ancienne ville chinoise entourée de murailles.
Au XXIème siècle, la métropole met en place des stratégies culturelles, économiques, patrimoniales pour répondre aux enjeux de la mondialisation.
Astor House, 2019
Ville de marchands et d’innovations au XIXe et au XXe siècle, ville refuge des personnalités politiques de la Chine du début du XXe, son histoire urbaine et architecturale est encore peu connue. L’Université de Tianjin et l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne viennent de co-publier, en français et en chinois, un livre réunissant les approches de chercheurs chinois et occidentaux. Fruit d’échanges multiples entre les deux universités, mais pas seulement, il ouvre sur les problématiques contemporaines de l’histoire de la ville, de l’architecture, des transferts de savoir-faire et des ouvertures entre milieux académiques.
Avec
Maria GRAVARI-BARBAS, professeure de géographie culturelle et sociale à Paris 1 Panthéon-Sorbonne
LU Yue, architecte, urbaniste, chercheuse associée à Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Christine MENGIN, maîtresse de conférences émérite à Paris 1 Panthéon-Sorbonne
SHEN Chensi, doctorante, en co-tutelle Paris 1 Panthéon-Sorbonne et université de Tianjin
Modération : Françoise GED, responsable de l'Observatoire de la Chine, Cité de l'architecture et du patrimoine
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