Une économie alliée de l’écoféminisme : les genres de l’oikos
La Ville au prisme du genre
Si la question du genre émerge dans le débat théorique, dans les faits, les expériences qui attestent d’un passage à l’acte en matière de conception et de gestion de l’espace (public ou privé) pour consolider ce droit à la ville pour tous, de tous les genres, nous semblent peu abordées de manière “explicite”.
Il ne s’agit pas de questionner la forme particulière qu’un espace genré pourrait avoir, mais plutôt de faire sortir du “tacite” la voix des genres pour exprimer leurs visions d’une spatialité inclusive.
Acte 4 - Une économie alliée de l’écoféminisme : les genres de l’oikos
Dans les précédents rendez-vous, nous avons insisté sur la nécessité d’acquérir une forme d’autonomie pour sortir des visions marginales des femmes ou, plus généralement, de tous les individus qui ne rentrent pas dans une norme imposée par le regard social.
Nous nous intéresserons à la question du travail des femmes, en introduisant une pensée complexe du travail comme élément du Capitalocène, de ses conditions spatiales, des possibilités offertes pour (re)démarrer avec de nouveaux récits, mais aussi des nouveaux savoirs impulsés par une pensée qui unit économie et écoféminisme.
Pour ce faire, nous donnons la parole à :
- Rebecca Amsellem, docteure en économie, fondatrice de la newsletter Les Glorieuses et de la société de production de newsletters Gloria Media
- Marco dell’Omodarme Invernizzi, maître de conférences Paris 1-Panthéon Sorbonne, Master GAC, chercheur associé Origens, éditeur de la revue Poli
- Anne-Lise Rias, consultante, docteure en design, porteuse du projet "Le futur du travail des femmes"
Organisation : Fiona Meadows et Antonella Tufano ; avec la participation du Master "Etudes sur le genre" de Paris 1-Panthéon Sorbonne et le soutien de l’association Vap (Ville architecture paysage)
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Une économie alliée de l’écoféminisme : les genres de l’oikos