œuvre du musée
Aménagement du site du pont du Gard, projet rive gauche, niveau 39.50
Numéro d'inventaire
2012.22.61
Situation
En réserve
Statut
Propriété de l’État, Cité de l’architecture et du patrimoine, musée des Monuments français
Titulaires des droits
Viguier, Jean-Paul - 1946(Représentant(s) : Adagp - Paris)
Aménagement du site du pont du Gard, musée archéologique de la rive gauche, plan de niveau
© Cité de l'architecture et du patrimoine, Musée des monuments français, Paris
(Photo : Cité de l'architecture et du patrimoine, Musée des monuments français, Paris.)
Auteur(s)
Auteur(s) de l'œuvre du musée
- Viguier, Jean-Paul - 1946 (Architecte)
Datation
Avril 1998-Juin 2000
Description
Plan DOE
Dénomination
Matières
- Papier
- Encre
Techniques
- Néant
Dimensions
H : 48,5 cm; L : 73 cm
Echelle : 1/100e
Inscription
Néant.
œuvre de référence
Auteur
Datation
1988-2000
Edifice de référence
Site du pont du Gard
Localisation
Gard, Languedoc-Roussillon, France
Auteurs
Viguier, Jean-Paul - 1946 : Architecte
Beaussillon, Bertrand : Chef de projet
Quoniam, Laure : Paysagiste
Datation
1988-2000
Précisions sur la réalisation
Projet réalisé. En 1991, Jean-Paul Viguier est désigné lauréat du concours visant à aménager le site du pont du Gard, l’un des hauts lieux archéologiques de France, inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1985. Le monument, menacé par l’afflux de touristes, voit ses abords progressivement dénaturés par des constructions sauvages. L’architecte, associé à la paysagiste Laure Quoniam, s’emploie à démolir et nettoyer la zone afin de retrouver la beauté du site, rendu accessible aux seuls piétons. Le projet prévoit au départ de traiter un vaste périmètre pour finalement, à la demande du maître d’ouvrage, s’appliquer à une zone plus réduite, rejetant en périphérie constructions et parkings paysagers, invisibles depuis le pont et inversement. Pour accueillir le public, Jean-Paul Viguier réalise deux bâtiments qui se fondent dans le paysage. Sur le plateau de la rive gauche du Gardon, un musée de béton blanc, comme une pierre posée sur le sol, est légèrement encastré dans la colline. Sur l’autre rive, un bâtiment d’accueil aux lignes pures est logé dans une ancienne carrière. Entre les deux, un cheminement piéton, traité avec soin, permet au visiteur d’appréhender le monument, magnifié dans son écrin naturel retrouvé.
Mise à jour le 03/02/2021