Centres culturels

Micro folies, 2017

Architectes : Jean-Jacques Hubert et Antoine Antoine Santiard (h2o Architectes) sous la bienveillance de l’architecte Bernard Tschumi.

La micro-folie de Sevran, inspiré des folies du Parc de la Villette conçues par Bernard Tschumi cherche, via quatre fonctionnalités proposés, à animer culturellement un territoire jugé difficile qu’est le quartier Beaudottes et à soutenir l’action locale.

Il s’organise autour de 4 modules :

• Le café : La Micro-Folie est avant tout un lieu de vie, de convivialité et d’échanges. Restauration, bals populaires, séances de cinéma… sont organisés en lien avec les structures culturelles et les associations locales. De nombreuses activités sont proposées aux enfants et aux familles : ateliers pédagogiques, tables de jeux, salle de lecture, etc.
• L’espace scènique : Équipé d’un kit technique lumière et son, le musée numérique se transforme facilement en espace scénique où peuvent répéter et se produire des artistes, des associations et des amateurs. La Micro-Folie devient le lieu d’une programmation événementielle régulière.
• Le musée numérique : Réunissant 250 chefs-d’oeuvre de 8 institutions et musées nationaux à découvrir sous forme numérique (tablettes, écrans géants, réalité virtuelle…), cette galerie d’art virtuelle est une offre culturelle unique. Chaque parcours est accompagné d’actions de médiation.
• Le Fab-lab : Équipé d’imprimantes 3D, de machines à coudre numériques, d’ordinateurs…, cet espace s’adresse aux designers, aux artistes, aux étudiants, aux bricoleurs et à tous ceux qui souhaitent développer leur créativité. Néophytes et curieux peuvent s’initier à de nombreuses disciplines dans un esprit DIY (Do It Yourself).

Micro-folie Sevran

Le centre Pompidou mobile, 2011

Architecte : Patrick Bouchain et Loïc Julienne

Le Centre Pompidou mobile est un musée itinérant conçu pour offrir à tous les publics, et notamment aux personnes les plus éloignées de la vie culturelle, la possibilité d’une rencontre gratuite et directe avec les chefs-d’œuvre de l’art moderne et contemporain issus des collections du Centre Pompidou. L’enjeu est d’irriguer le territoire national en implantant temporairement la structure dans différentes villes où les politiques culturelles sont jugées insuffisantes. L’action de médiation prend ainsi toute son importance afin de faire tomber la barrière entre les individus non habitués à fréquenter les institutions culturelles et les œuvres.
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Le musée passager, 2014

Architecte : Philippe Rizzotti

Le musée passager est un projet à l’initiative de la région Ile-de-France réalisé afin de parcourir 25 villes du territoire régional pendant quatre années. Le public est à ces occasions invité à découvrir des œuvres inspirées des nouvelles technologies dans un espace modulable. La structure mobile imaginée par l'architecte Philippe Rizzotti entend attirer un public non habitués aux musées en leur offrant un lieu de convivialité ouvert et ainsi faire tomber les barrières psychologiques qui tendent à éloigner ces publics des structures culturelles.
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Musée Mobile Mumo 1, 2011

Architecte : Adam Kalkin

MuMo est un musée mobile destiné à aller à la rencontre des enfants, en particulier ceux qui se trouvent éloignés de l’accès à la culture, en se rendant directement sur leurs lieux de vie : cour d’école, centre de loisirs, parking d’un quartier, etc. Lancé en 2011, il a parcouru la France, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, la Belgique, la Suisse, l’Espagne et le Luxembourg, pour proposer aux enfants une expérience inédite de l’art contemporain, à travers la découverte de 14 œuvres spécialement créées pour le MuMo par des artistes internationalement reconnus.
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Musée Mobile Mumo 2, 2017

Architecte : Matali Grasset

Mumo 2

Le pavillon orange, 2011

Architecte : Jakob + Macfarlane

Le groupe Orange a ici souhaité une structure éphémère destinée à l’exposition « Hellodemain » sur le monde numérique du futur. Cette exposition, qui a eu lieu en juin 2011 à la Cité des Sciences de Paris, était implantée en partie sur les pelouses du parc de La Villette. Cette structure fait ainsi figure de pavillon temporaire dédié à la présentation d’une exposition « hors les murs ».
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Schaustelle, 2013

Architectes :  J. Mayer H. und Partener Architekte

Le Schaustelle est un pavillon temporaire attaché la Pinakothek der Moderne de la ville de Munich. Cette structure est à la fois un lieu d’interaction, une galerie provisoire et un espace d’exposition de grands formats et de nouveaux concepts. L’enjeu est d’en faire un lieu de programmation transdisciplinaire, d’échange et de réflexion. Conçu comme flexible et provisoire et construit en majorité à partir d’éléments réutilisables, le Schaustelle est un manifeste pour la diffusion des nouvelles idées.
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GAD, 2012

Architecte : MMW Architects

GAD est une galerie d’art temporaire norvégienne construite à partir de containeurs issus de la navigation. Sa structure permet le démontage et le montage en à peine quelques jours de façon à permettre l’itinérance de la galerie pour rencontrer une offre et une demande d’événements temporaires à travers le pays.
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FLIJ , 2015

Architecte : Oualalou+Choi

Le parvis de l’Institut du Monde Arabe à Paris accueillait en 2015 un pavillon d’exposition temporaire de 500 m² dédié à l’artisanat du Maroc à l’occasion de l’exposition « Le Maroc contemporain ». Inspirée des villages de tentes (appelés « flij »), cette création contemporaine est une expérimentation formelle utilisant la traditionnelle laine de chameau. Elle est fabriquée selon un savoir-faire immémorial tout en étant présentée dans une disposition architecturale contemporaine, croisant ainsi patrimoine et innovation technique. L’exposition investit alors l’espace public.
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